Les meilleurs films de Ron Howard

Le Grinch est un croque-mitaine de poils verts qui arbore un sourire élastique jusqu'aux oreilles. Misanthrope exilé, il vit depuis 53 ans dans une grotte sur le mont Crumpit avec son chien Max. Il se nourrit de jus de laitue, d'huile de castor et de lait tourné, et a un cœur trois fois trop petit pour aimer qui que ce soit. Recueilli par deux charmantes vieilles dames, le Grinch aurait aimé avoir une enfance et une scolarité normales, avoir des copains et flirter avec la gentille Martha qui le couvait d'un œil tendre. Mais les petits Whos se comportèrent si cruellement avec lui qu'ils le contraignirent à l'exil.

En 1962, les destins croisés d'un groupe de jeunes dans une bourgade de Californie, autour des courses de voitures, de la musique rock, des soirées et des rencontres.

Les derniers jours d'un célèbre tireur, légende de l'Ouest, qui vient d'apprendre qu'il va mourir d'un cancer.

Le gardien de zoo Frank Detorri a l'habitude d'engloutir toutes sortes d'aliments, même les plus infâmes. Ignorant les règles élémentaires de l'hygiène et de la diététique, son corps est un vaste champ de bataille où se côtoient germes et toxines, bacilles et virus. De temps à autre, Frank est sujet à des renvois, ballonnements, crampes, crises de foie et aigreurs d'estomac.Malgré ces innombrables alertes, ce dernier avale goulûment un oeuf dur ramassé dans la poussière. Un cataclysme majeur se produit alors dans son organisme : l'estomac se révolte, le foie capitule, les enzymes gloutons sont rapidement débordés par cet afflux massif de bactéries auquel s'adjoint le virus mortel Thrax. L'état de santé de Frank repose dès lors sur les vaillants efforts du globule blanc Osmosis Jones et de son coéquipier, la gélule Drix, pour lutter contre cette répugnante horde de microbes.

Avec humour, le documentaire répond à cette question : qu'est-ce que cela est d'être père au XXIème siècle à travers le monde ?

Le film raconte quatre histoires, séparées d'une année, se déroulant chacune durant un 31 décembre des années 1960. La narration des quatre histoires est imbriquée si bien que le spectateur a l'impression qu'elle se déroulent simultanément et non successivement.

Novembre 1956 en Hongrie. Lors de l'insurrection de Budapest et de la répression soviétique qui s'ensuivit, plusieurs étrangers, dont des Américains, des Britanniques et des Français, sont immobilisés à l'aéroport de Budapest, car tous les vols sont suspendus et l'aérogare doit être évacuée. On leur annonce qu'ils vont être conduits en autocar en Autriche. Lorsque leur véhicule arrive au village frontalier hongrois de Mosan, des soldats de l'armée soviétique l'empêchent de passer en Autriche, car ils établissent un poste-frontière de contrôle sous les ordres du commandant Surov. Parmi les voyageurs, Surov remarque la séduisante lady Diana Ashmore, accompagnée de son compagnon qui prétend être un Britannique nommé « Henry Fleming », mais dont l'identité éveille les soupçons du commandant (il s'agit en fait de Paul Kedes, un dissident hongrois blessé et en fuite). Il n'en faut pas plus à celui-ci pour assigner les voyageurs à résidence dans une auberge...

Tom Corbett, directeur des programmes d’une station de radio, vient de perdre son épouse dans un accident. Veuf, il élève seul son jeune garçon Eddie. Attentionné mais rapidement débordé, il loue les services d’une gouvernante ; mais une aide ménagère ne peut pas remplacer une compagne et Eddie, ayant promis à sa mère d’aider son père dans l’épreuve qu’ils allaient avoir à affronter, aimerait bien le voir se remarier...

Trois fils de fermiers, Will, Les et Tod, font la rencontre d'un hors-la-loi grièvement bléssé dans un bois. Il s'agit de Harry Spikes, un braqueur de banques recherché. Après s'être fait sermonné et brutalisé par son père pour avoir aidé le criminel, Will décide de quitter le domicile familiale. Ses amis et lui partent à l'aventure et retrouvent Harry dans le but de former une bande...

Le documentaire d’Alex Stapleton visite la carrière de Roger Corman, l’homme capable de réaliser ou de produire des films en trois jours, à qui l’on doit également le lancement des carrières de Jack Nicholson, Martin Scorsese, Monte Hellman et de nombreuses autres personnalités du cinéma américain.