Les meilleurs films de drame de Guido Alberti
Aujourd’hui, nous vous présentons les meilleurs films de Guido Alberti. Si vous êtes un grand fan de cinéma, vous savez sûrement la plupart d’entre eux, mais nous espérons découvrir un film que vous ne l’avez pas encore vu … et que vous l’aimez! Nous y allons avec les meilleurs films de Guido Alberti.
Le Décaméron
7/10
Un film composé de huit sketches adaptés des fameux contes paillards de Boccace. Les protagonistes sont :un jeune marchand qui aide des voleurs à piller la tombe d'un cardinal, un bûcheron qui tente de se faire engager comme jardinier dans une communauté de religieuses, une femme infidèle qui cherche à dissimuler à son mari la présence de son amant, un libertin qui abuse d'un innocent moine, deux jeunes gens surpris par le père de celle-ci, deux profiteurs ayant peur de l'enfer ainsi qu'un prêtre qui prétend pouvoir transformer une femme en jument.
Huit et demi
8/10
Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de fantasmes.
Bobby Deerfield
5,8/10
Un champion de formule un, déçu par son métier, s'éprend d'une inconnue rencontrée dans une clinique. Quand lui respire la mort, elle éclate de vie. Mais il apprend bientôt qu'elle est atteinte d'un mal incurable.
Le Bourreau
7,9/10
En échange d'un bel appartement, un employé des pompes funèbres accepte l'emploi de bourreau en se jurant de ne jamais exécuter une sentence de mort en démissionnant sur le champ. Or, un jour, une condamnation arrive et Jose Luis s'acquitte de sa tâche…
Les Grands Fusils
6,7/10
Tony Arzenta, ex-tueur de la mafia, veut se retirer. Mais l'organisation, qui n'accepte pas sa démission, tente de le supprimer et tue, par erreur, sa femme et son enfant. Tony décide de se venger.
Des filles pour l'armée
7,4/10
Un lieutenant et ses hommes sont affectés à protéger un groupe de prostituées en les accompagnant à travers les montagnes pour rejoindre des soldats italiens en Albanie durant la Seconde Guerre mondiale
Main basse sur la ville
7,6/10
Rod Steiger est un féroce promoteur foncier dans Hands over the City de Francesco Rosi, un travail de réalisme social qui fait fureur et qui a remporté le Lion d'Or du Festival du Film de Venise en 1963. Cet exposé de la spéculation immobilière politiquement motivée qui a dévasté le paysage civil de Naples s'éloigne d'un édifice cataclysmique et s'effondre dans les coulisses des négociations des dirigeants civiques en lice pour le pouvoir lors des élections municipales, dévoilant les rouages de la corruption avec passion et indignation .
Deux hommes dans la ville
7,3/10
A sa libération, Gino Strabliggi, un ancien truand, est chaperonné par l'inspecteur Cazeneuve, inspecteur a la retraite, qui l'aide a se réinsérer. Malheureusement un autre policier cherche à le faire trébucher.
Casanova '70
6,4/10
Femmes fatales ou pures ingénues, en passant par les épouses parfaites, aucune ne résiste à Andrea, bel officier de l'OTAN qui va de conquête en conquête au gré de ses déplacements. Las de si faciles victoires, ce séducteur prématurément blasé n'arrive plus à éveiller son désir que lorsqu'il se trouve dans des situations périlleuses. Afin de régler son problème, il décide de se faire psychanalyser...
Bracelets de sang
6,4/10
Après de nombreuses années passées au sein des forces de l'ordre, Rambo (!) décide de raccrocher pour de bon. Mais quand un ami l'appelle pour lui proposer de faire partie d'une brigade de sécurité, spécialisée dans la protection de sociétés menacées par la Mafia, l'ex-policier ne peut pas refuser. Il se rend alors à Milan pour débuter dans ses nouvelles fonctions. A peine arrivé, il est confronté à la bande de Paternò, impitoyable chef de gang...
La Califfa
5,8/10
Des grèves secouent l'Italie. Le mari de la Califfa est tué et elle devient la Passonaria des grévistes. Elle s'oppose au patron de l'usine, Doverdo, lui-même ancien ouvrier. L'opposition se transforme en amour, du coup le conflit s'éteint par concessions réciproques.
Le porteur de serviette
7/10
La lune dans le caniveau
5,9/10
Apres avoir été violée dans une impasse, Catherine se suicide. Gérard, son frère, jure de la venger. C'est le début d'une grande dérive qui va l'amener à rencontrer divers personnages dans les bouges d'un port.
La décade prodigieuse
6,1/10
Théo van Horn est le patriarche de la famille van Horn. C'est un être tyrannique, orgueilleux, qui fait subir ses colères et ses caprices imprévisibles à ses proches. Son fils, Charles, doit lui rendre visite. Il demande à son ancien professeur d'université, Paul Régis, de bien vouloir l'accompagner. Charles a une liaison amoureuse cachée avec Hélène, la femme de Théo van Horn. Charles est victime d'un maître-chanteur qui menace de dévoiler cette histoire. Il vole de l'argent à son père pour le faire taire.
La guerre des gangs
6,5/10
Une guerre sanglante est déclarée entre contrebandiers de cigarettes et dealers de cocaïne.
Sans sommation
6,3/10
Raoul Maury, un inspecteur de police mis à l’écart par sa hiérarchie pour avoir voulu jadis continuer une enquête dérangeante à l'égard de certains politiciens influents, a sombré dans l’alcoolisme. Isabelle, son épouse désabusée, tente en vain de le ramener à la raison. Ses collègues qui surveillent l’ex-sergent Donetti appartenant au gang du commandant Capra, un gang composé d’anciens mercenaires tombés dans l’illégalité, aperçoivent ce suspect qui aborde justement Maury.
Il testimone deve tacere
6,4/10
Giovinezza giovinezza
6,8/10
La sensualità è un attimo di vita
5,2/10
La fuga
6,2/10
