Les meilleurs films de romance de Jean-Pierre Castaldi

Jean-Pierre Castaldi

Jean-Pierre Castaldi

01/10/1944 (79 años)
Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Jean-Pierre Castaldi, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Jean-Pierre Castaldi.

Angélique, Marquise des Anges

Angélique, Marquise des Anges
6,7/10
Fille du baron de Sancé de Monteloup, élevée très librement, Angélique côtoie les jeunes gens de son âge, notamment Nicolas, son ami d'enfance. Afin de parfaire son éducation, son père la confie à son cousin et voisin le marquis de Plessis-Bellières. Raillée par son cousin, qui l'appelle la « marquise à la triste robe », elle surprend un jour une conversation, où l'on parle du projet du prince de Condé d'empoisonner le futur roi Louis XIV.

La Boum

La Boum
6,7/10
Vic, treize ans, inscrite au lycée Henri-IV, est à l'âge des premières sorties et des premiers émois. Vic n'a guère l'occasion de parler avec ses parents, trop occupés par leur carrière respective, et dont le couple subit les assauts classiques du temps. Elle se confie donc à son arrière-grand-mère, la pétillante Poupette, ou à sa meilleure amie, Pénélope. Elle partagera donc avec elles son amour pour le beau Mathieu. Mais cet amour-là aussi connaîtra quelques difficultés...

La Veuve Couderc

La Veuve Couderc
6,9/10
Un inconnu qui sort du bagne arrive dans un village se fait engager comme ouvrier dans la ferme de la veuve Couderc. En plus du travail de la ferme, elle doit se battre au quotidien contre sa belle-famille, qui voudrait bien la faire expulser de chez elle. Une histoire d'amour va naître entre la veuve et ce voyou en cavale dans la France rurale des années 1930...

Palace

Palace
4,9/10

Les hommes et les femmes sont faits pour vivre heureux… mais pas ensemble

Les hommes et les femmes sont faits pour vivre heureux… mais pas ensemble
Pour rompre la routine, Alfred propose à sa femme de recommencer leur rencontre. Mais au matin, elle a disparu... Alfred rencontre alors une femme ressemblant étrangement à la sienne, mais plus délurée, plus passionnée et moins tendre. Entre celle-ci et la première, il dessine alors le portrait de LA femme idéale.

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