Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Rikiya Yasuoka, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Rikiya Yasuoka.
Un policier new-yorkais est chargé d'escorter à Osaka un criminel japonais. Rapidement, ce dernier s'échappe. Le représentant de l'ordre va alors avoir beaucoup de mal à le retrouver dans un pays dont il ignore les us et coutumes.
Une farce se tramant autour d'un restaurant de soupes de nouilles d'une jeune veuve nous fait découvrir un Japon peu orthodoxe. Tout se renverse dans les traditions quand Goro, routier a la dégaine de cow-boy, entre dans la vie de Tampopo et décide de lui montrer comment on fait une soupe de nouilles réussie. Alors que les ouvriers n'ont que dix-huit minutes pour déjeuner, Juzo Itami déclare: "Les seuls plaisirs auxquels les Japonais aspirent sont la nourriture et le sexe... parfois les jeux audiovisuels..."
En 1865, un assassin redoutable est crucifié et meurt sous les coups de lances. Mais son esprit, bouillant de haine et de désir de revanche, le dispense de la mort. Il devient prisonnier d’un espace-temps en perpétuelle mutation, exécutant tout ce qui tombe sous sa lame : hommes, femmes, enfants et même les divinités qui régissent l’univers.
Tromaville est à présent nettoyée de sa racaille. Déprimé et désœuvré, Melvin décide de partir à la recherche de son père au Japon. Alors qu’il parvient à retrouver sa trace, Tromaville est investie par une bande de pollueurs sans scrupules...
Un poinçonneur de billet de train à la vie ennuyeuse, sauve un soir une jeune fille des mains de deux hommes qui veulent abuser d'elle. Petit à petit, il va nourrir des fantasmes quant à elle, avant de s'adonner à un nouveau plaisir, celui de s'introduire chez des jeunes filles la nuit pour les violer. En repartant, il nettoie et prépare le déjeuner. Il fait ainsi naître des sentiments confus chez sa victime.
La Légende de Zatoïchi, Vol. 26 : L'Odyssée finale
Après quelques jours passés en prison, Ichi (Shintarô Katsu) poursuit son errance à travers le Japon. Il séduira une yakuza, fera la connaissance d’un rônin peintre et poète à ses heures (Ken Ogata) et, bien sûr, ne manquera pas d’aller faire un tour dans les maisons de jeu histoire de se remplir les poches. Le masseur finira enfin par trouver un peu de repos auprès des enfants d’un orphelinat. Mais comme toujours, il sera amené à faire couler le sang pour défendre sa propre vie ou protéger les innocents.
Un barman sauve la vie d'un boss Yakuza et par la même occasion monte en grande dans son gang. Cependant, son attitude de casse-cou ne tarde pas à lui attirer des problèmes.
Il s'agit d'un remake du film homonyme de Kinji Fukasaku sorti en 1975.