Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Mikako Ichikawa, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Mikako Ichikawa.
Personnage: Hiromi Ogashira : Ministry of the Environment Nature / Wildlife Division Deputy Director
Un raz de marée inonde une partie de la côte de Tokyo. Après avoir pensé qu’il s’agissait d’une catastrophe naturelle, les scientifiques se rendent compte que le responsable de ce désastre n’est autre que Godzilla, une créature géante prête à tout détruire sur son passage.
Le grand avocat Shigemori est chargé de défendre Misumi, accusé de vol et d’assassinat. Ce dernier a déjà purgé une peine de prison pour meurtre 30 ans auparavant. Les chances pour Shigemori de gagner le procès semblent minces, d’autant que Misumi a avoué son crime, malgré la peine de mort qui l’attend s’il est condamné. Pourtant, au fil de l’enquête et des témoignages, Shigemori commence à douter de la culpabilité de son client.
Lorsque Kawajiri-kun se fait larguer par sa copine, il apprend le décès d'une tante dont il n'avait jamais entendue parler. Matsuko de son prénom fut retrouvée morte près de la rivière de son domicile.
Sous la demande de son indifférent de père, il se rend sur les lieux pour faire le ménage dans le taudis qui servait d'appartement à la défunte tata.
Au fil des rencontres et des témoignages commence le récit de la vie calamiteuse d'une femme japonaise issue du baby boom, à la fois maladroite, naïve et d'une beauté transcendante.
Masakazu Isshiki est un écrivain mystèrieux. Il vit à Kamakura avec sa femme Akiko qui est beaucoup plus jeune que lui. Ils résolvent les affaires bizarres et inexpliquées qui se déroulent autour d'eux.
Avec son partenaire débutant visiblement naïf, un inspecteur pitoyable, épuisé et récemment divorcé recherche un tueur en série à tête masquée de grenouille géante qui terrorise Tokyo…
Arata Kaizaki a 27 ans et est sans emploi. Il a quitté son emploi avant après avoir travaillé pour une entreprise pendant 3 mois. Il décide de prendre part à un programme de recherche nommé ReLIFE. Il prend des médicaments qui le font paraître 10 ans plus jeune et il repart fréquenter l'école secondaire pendant un an. Là, il tombe amoureux de Chizuru Hishiro, une lycéenne.
Une mystérieuse organisation du nom de Panther Claw enlève des jeunes filles à travers tout le Japon afin de puiser leur énergie et ainsi rendre jeunesse et beauté à son chef Sister Jill. La police se montre impuissante et seule une jeune fille semble à même de les arrêter. Grâce à l'invention de son père, l'I-System, elle peut se transformer en qui elle veut. Tour à tour employée de bureau, pilote de moto, musicien de rue ou officier de police, elle s'ingénie à déjouer les plans de Panther Claw. Son nom ? La guerrière de l'amour… Cutie Honey !
Six étrangers déménagent dans la ville portuaire d'Uobuka et un employé de la ville, Hajime Tsukisue, reçoit l'ordre de les aider. À cette même époque, Fumi, diplômée du même lycée qu'Hajime, revient à Uobuka. Quelque chose cloche à propos de ces étrangers. Ils agissent curieusement et n'ont pas l'air normal. Hajime apprend des détails plus choquants : ces étrangers sont d'anciens prisonniers qui ont tous commis un meurtre. En raison d'un nouveau système de libération conditionnelle, ils sont transférés à Uobuka. Les résidents ne sont pas censés connaître leurs antécédents criminels mais leur vie commence à changer en raison des nouveaux résidents.
Mika, infirmière le jour et hôtesse la nuit, et Shinji, ouvrier intérimaire dans le bâtiment, se rencontrent plusieurs fois par hasard dans Tokyo. Tokyo exacerbe en eux deux les mêmes angoisses : la peur de la mort, de la solitude, de la pauvreté. Leur rencontre va peut-être leur permettre de surmonter leur fatalisme.
Une infirmière à domicile se retrouve suspectée de complicité après des violences commises sur la plus jeune fille de la famille où elle officie. En retraçant la chaîne des événements, une question émerge : est-elle vraiment coupable ?