Les meilleurs films de Jeremy Davies sur Rakuten TV

Jeremy Davies

Jeremy Davies

08/10/1969 (54 años)
Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Jeremy Davies, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Jeremy Davies.

Solaris

Solaris
6,2/10
Répondant à l'appel de détresse lancé par son ami Giberian, le commandant du Prométhée, une station spatiale gravitant autour de la planète Solaris, le docteur Chris Kelvin décide de se rendre à son bord. Une fois sur place, il découvre que Giberian s'est suicidé et que les deux autres scientifiques présentent des signes aigus de stress et de paranoïa.Chris mène alors des recherches sur le comportement pour le moins étrange des rescapés. Lui-même sera victime d'une force mystérieuse qui le mettra en présence de Rheya, celle qu'il a aimée autrefois et qui a mis fin à ses jours.

Twister

Twister
6,5/10
Les exploits quotidiens et méconnus d'un groupe de scientifiques, chasseurs de tornades du Midwest aux États-Unis. Jo Harding, qui a vu son père emporté par une tornade quand elle était enfant, sillonne inlassablement les routes du Midwest à la tête d'une petite équipe de météorologues, aventuriers et casse-cou, unis autour d'un même objectif: observer les tornades sur leur terrain d'élection.

Il faut sauver le soldat Ryan

Il faut sauver le soldat Ryan
8,6/10
Alors que les forces alliées débarquent à Omaha Beach, Miller doit conduire son escouade derrière les lignes ennemies pour une mission particulièrement dangereuse : trouver et ramener sain et sauf le simple soldat James Ryan, dont les trois frères sont morts au combat en l’espace de trois jours. Pendant que l’escouade progresse en territoire ennemi, les hommes de Miller se posent des questions. Faut‐il risquer la vie de huit hommes pour en sauver un seul ?

Justice League Dark

Justice League Dark
7/10
Partout dans le monde, les gens commencent soudain paniquer alors qu'ils commencent à voir tout le monde autour d'eux comme des monstres démoniaques. La Ligue de la Justice tergiverse, Batman est sceptique, mais John Constantine est certainement impliqué dans l’origine de cette catastrophe.

The House That Jack Built

The House That Jack Built
6,8/10
États-Unis, années 70. Nous suivons le très brillant Jack à travers cinq incidents et découvrons les meurtres qui vont marquer son parcours de tueur en série. L’histoire est vécue du point de vue de Jack. Il considère chaque meurtre comme une œuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher (ce qui exaspère Jack et lui met la pression) il décide — contrairement à toute logique — de prendre de plus en plus de risques. Tout au long du film, nous découvrons les descriptions de Jack sur sa situation personnelle, ses problèmes et ses pensées à travers sa conversation avec un inconnu, Verge. Un mélange grotesque de sophismes, d’apitoiement presque enfantin sur soi et d'explications détaillées sur les manœuvres dangereuses et difficiles de Jack.

Une drôle d'histoire

Une drôle d'histoire
7,1/10
Craig, 15 ans, fait une dépression nerveuse. Il est envoyé à l'hôpital psychiatrique mais suite à une erreur de dossier, il se retrouve dans le département des adultes. Il va rencontrer plusieurs d'entre eux, bien plus fous que lui.

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