Les meilleurs films de guerre de François Berléand
Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de François Berléand, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas François Berléand.
Au revoir les enfants
8/10
Le film se déroule durant l'hiver 1943, dans une France occupée. Julien qui a 12 ans, fils d'une famille bourgeoise, est pensionnaire au petit collège Saint Jean de la Croix, tenu par les pères carmes. Il retrouve le chemin de l'école sans joie après les vacances de Noël, pour le deuxième trimestre. Une rentrée presque comme les autres jusqu'à ce que le père Jean vienne présenter trois nouveaux élèves. L'un d'entre eux, le jeune Jean Bonnet, est le voisin de dortoir de Julien.
Capitaine Conan
7,2/10
Les Balkans, septembre 1918. Alors que l'armistice est signé en France, seule l'armée d'Orient n'est pas démobilisée et reste en état de guerre. Les soldats sèment le désordre, pillent et tuent. Norbert a la delicate mission de faire condamner les coupables, les hommes du capitaine Conan, son ami a qui l'on doit, sous le commandement de Franchet d'Esperrey, la prise du mont Sokol. Malgré la fureur de Conan, qui défend ses soldats envers et contre tout, Norbert fera son devoir.
Un héros très discret
7,2/10
Dans l'époque trouble et confuse de l'hiver 1944-1945, à Paris, un homme qui n'a pas participé à la guerre va se faire passer pour un héros en s'inventant une vie admirable. A force de mensonge, il va construire par omissions et allusions un personnage hors du commun.
Les Milles, le train de la liberté
6,4/10
Une histoire vraie durant la seconde guerre mondiale, des opposants au nazisme retenus captifs embarquent dans un train qui pourrait les mener vers la liberté ... En 1940, près de 2000 personnes ayant cherché à fuir l'Allemagne d'Hitler se retrouvent au camp "Milles", un camp de détention de la région d'Aix-en-Provence. La France est sur le point de les livrer aux Nazis quand le cerveau du Commandant Perrochon (Jean-Pierre Marielle) germe une idée folle: prendre un train vers Bayonne pour s'échapper à bord d'un navire.
