Les meilleurs films de fantastique de Jean-Louis Trintignant

Jean-Louis Trintignant

Jean-Louis Trintignant

11/12/1930 (93 años)
Neveu du coureur automobile Maurice Trintignant, qui lui a transmis sa passion, le jeune Jean-Louis Trintignant suit des études de droit à la faculté d'Aix-en-Provence. Mais il assiste le jour de ses 19 ans à une représentation théâtrale qui changera sa vie : L'Avare, mis en scène par Charles Dullin, dont il décide de suivre les cours à Paris. Jeune premier qui débute sur les planches en 1951 avec la pièce A chacun selon sa faim, le comédien se fait rapidement remarquer, grâce notamment à Responsabilité limitée, un texte de Robert Hossein, en 1953. Il fait à cette époque un bref passage par l'IDHEC, avec pour ambition de devenir réalisateur - un désir qui ne se concrétisera que vingt ans plus tard. Après quelques figurations, le premier film dans lequel apparaît Jean-Louis Trintignant est Si tous les gars du monde en 1955, mais celui qui le révèle est Et Dieu créa la femme de Vadim, drame au parfum de scandale qui lance le mythe Bardot. Très marqué par ses deux ans de service militaire en Algérie, il trouve un de ses premiers grands rôles en 1961 dans Le Combat dans l'ile, œuvre engagée de Cavalier. Son goût pour les personnages ambigus lui fera d'ailleurs tourner plusieurs grands films politiques, de Z de Costa-Gavras (sa composition de juge lui vaut le Prix d'interprétation à Cannes en 1969) au Conformiste de Bertolucci - un des sommets de sa carrière italienne, qui compte aussi Le Fanfaron de Risi ou La Terrasse de Scola.

La Cité des enfants perdus

La Cité des enfants perdus
7,5/10
Krank, un étrange personnage vit entouré de clones et d'autres personnages encore plus étranges sur une plate-forme en mer perdue dans le brouillard. Krank, doit, pour ne pas vieillir trop vite, voler les rêves des enfants. C'est pour cela qu'il les enléve de la cité portuaire.

Glissements progressifs du plaisir

Glissements progressifs du plaisir
6,2/10
Alice est enfermée dans une prison pour mineures tenue par des religieuses. Elle est accusée d'avoir tué Nora, son amie. Celle-ci a été retrouvée morte, attachée dans son lit, une paire de ciseaux dans le coeur. L'interrogatoire commence dans sa cellule, dont l'architecture rappelle l'appartement où a eu lieu le meurtre. La confession d'Alice mêle la réalité à des délires quasi fantastique. Une jeune avocate entre dans la cellule d'Alice. Ses traits rapellent ceux de Nora. Elle se laisse abuser par les fantaisies verbales d'Alice, se prête aux jeux lesbiens et connaît le sort de l'infortunée Nora...

Antinea, l'amante della città sepolta

Antinea, l'amante della città sepolta
5,3/10
Pierre et Robert, des ingénieurs miniers, sont en train de survoler le Sahara dans un hélicoptère piloté par leur associé John, lorsqu'une tempête les force à se poser dans une zone de test nucléaire. Peu après, ils sauvent la vie du cheick Tamal, qui les conduit dans une grotte où se trouve la cité perdue de l'Atlantide, dirigée par la belle et impitoyable Antinea. Elle interdit toute tentative d'évasion à ses visiteurs et, quand John essaye de fuir, elle le transforme en statue. Robert, bouleversé par le meurtre de son ami, est envoyé dans les mines et est tué par Pierre, qui est victime des sortilèges d'Antinea. Plus tard, Zinah, une esclave, tombe amoureuse de Pierre et l'aide à s'échapper dans le désert, avant qu'une bombe nucléaire soit testée et que l'Atlantide soit détruite.

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