Les meilleurs films de crime de Robert Vattier
Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Robert Vattier, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Robert Vattier.
Les truands
5,5/10
Du Second Empire à 1956. On célèbre les 103 ans d'Amédée Benoit, ancien truand ayant débuté comme pickpocket sous le Second Empire. Sa famille n'attend qu'une chose : que le vieux "passe" pour hériter. Victime de deux syncopes, la venue de son petit-fils Alexandre, puis des délégués provinciaux des truands de Marseille (Jim Esposito) et de Bordeaux (Cahuzac), le ressuscite chaque fois. Chacun raconte ses exploits. Amédée sympathise avec Esposito. Il s'éteindra au petit matin, heureux d'une vie bien remplie.
Obsession
6,5/10
Trapézistes de renom, Hélène et Aldo sont également mari et femme. Un jour, Aldo se blesse et Alexandre le remplace. Les deux hommes se disputent violemment et peu après, Alexandre est retrouvé mort. Hélène, connaissant le passé très sombre de son époux, le soupçonne de ce meurtre...
La Queue du Diable
Lahutte, le bibliothécaire de Bellefontaine, a purgé dix ans de bagne à la suite d'une erreur judiciaire. Il revient au pays. La population lui offre un accueil minable, car ce retour trouble la paix des habitants qui n'ont qu'une idée : oublier ce sinistre incident le plus vite possible. Mais Lahutte, lui, ne l'entend pas de cette oreille. Il a souffert pour un crime qu'il n'a pas commis. Il considère qu'il a le droit, en toute justice de tuer quelqu'un et décide de choisir un habitant de Bellefontaine. Dès lors, chacun cherche à accabler son voisin...
Entre onze heures et minuit
6,8/10
L'inspecteur Carrel découvre dans le souterrain des Ternes un homme abattu lui ressemblant étrangement. Pour faire aboutir son enquête, il profite de cette ressemblance et se fait passer pour la victime, Vidauban, qui semble-t-il était le chef d'une bande de malfaiteurs. Une seule personne, Lucienne, sa dernière victime, n'est pas dupe de la substitution.
