Les meilleurs films de comédie de Houka Kinoshita

Lorsque Kawajiri-kun se fait larguer par sa copine, il apprend le décès d'une tante dont il n'avait jamais entendue parler. Matsuko de son prénom fut retrouvée morte près de la rivière de son domicile. Sous la demande de son indifférent de père, il se rend sur les lieux pour faire le ménage dans le taudis qui servait d'appartement à la défunte tata. Au fil des rencontres et des témoignages commence le récit de la vie calamiteuse d'une femme japonaise issue du baby boom, à la fois maladroite, naïve et d'une beauté transcendante.

Nami, une Japonaise de 20 ans, hérite d'une petite fortune. Largement abandonnée par ses parents lorsqu'elle était enfant, [2] Elle passe son temps à dépenser son argent, à commander de nouveaux appareils et à acheter des vêtements. Cependant, s'ennuyant de cela, elle commence à développer une gamme d'activités anormales. Nami elle-même, malgré sa richesse indépendante, est solitaire et vit une existence isolée. Elle commence à développer l'habitude d'observer les gens, et de manière voyeuriste , elle commence à observer d'autres personnes dans un état de même isolement (et parfois fou). [3] Elle appelle ces gens des "Solitaires". Elle se concentre en particulier sur les personnes âgées et vulnérables et en particulier les hommes. De son appartement en ville, avec de puissantes jumelles, elle observe ces hommes, et les regarde parfois sombrer dans la folie et la mort, prenant même des selfies avec leurs cadavres.

Cinq prisonniers se lancent un défi en forme de concours. Chacun devra raconter l'histoire du meilleur repas qu'il a jamais mangé. La récompense est très élevée : le gagnant mangera l'osechi, le repas de nouvelle année des autres. Or, ce repas est de loin le meilleur servi en prison au cours de l'année. Chacun puise dans ses souvenirs, même dans ceux enfouis très loin…

Tout le monde souhaite secrètement participer à un hold-up, mais d'habitude une telle pensée reste dans un fantasme pour les gens normaux. Un jour, un criminel effectue un casse dans une banque de Yokohama. Son crime inspire quatre clients originaux : "S'il peut le faire, je peux le faire". Comme tout hold-up raisonnable nécessite une bonne équipe, ils décident tous les quatre de former un gang, chacun apportant des capacités différentes pour la réussite de l'affaire. Après avoir réussi dans une ambiance joyeuse, ils se séparent et chacun reprend sa vie de son côté. Mais, lorsque le fils d'un des membres du gang est kidnappé, ils doivent s'unir à nouveau pour s'occuper d'une mission bien plus sérieuse…

Une célébration de l'art ancien du rakugo japonais, traduit approximativement par "récit comique". Le film est entrecoupé de nombreux enterrements et veillées, de chansons, de danses et de blagues souvent grossières et dégoûtantes.