Les meilleurs films de Aykut Kayacık

"Suis-je allemand ou turc ?" C’est la question que se pose Cenk Yilmaz, 6 ans, lors d’un match de football, alors que ni ses camarades allemands ni ses camarades turcs ne veulent de lui dans leur équipe. Pour le consoler, sa cousine Canan lui raconte l’histoire de leur grand-père Hüseyin qui, à la fin des années 1960, a émigré en Allemagne avec femme et enfants pour y travailler. Le temps a passé et l’Almanya est devenu leur pays d’adoption. Mais le grand-père a acheté une maison en Turquie et souhaite y emmener toute la famille en vacances. Commence alors un voyage plein de souvenirs, de disputes et de surprises…

Depuis des temps immémoriaux, un petit fantôme hante les ruines du château d'Eulenstein. Pendant la journée, il sommeille paisiblement et se réveille toutes les nuits à une heure. Curieux du monde qui l'entoure, le petit fantôme aimerait s'aventurer dehors à la lumière du jour. Une nuit, trois enfants, Karl, Hannes et Marie, pénètrent dans le château et sympathisent avec l'adorable spectre. Le lendemain, celui-ci se réveille à midi et réalise son rêve : découvrir le monde de jour. Malheureusement, il devient peu à peu noir sous l'effet des rayons du soleil. Alertée par des habitants effrayés, la police se lance à ses trousses. Le petit fantôme demande alors de l'aide à ses trois nouveaux amis...

Tim et son pote Can font la tournée des bars, prétextant que l'un d'eux est gravement malade et aurait besoin d'une petite amie. Tim rencontre Marie et tombe amoureux. Celle-ci le présente à sa grande soeur Edda, atteinte d'un cancer, qui remarque bien vite la supercherie de Tim.

Depuis des décennies, le hodja (enseignant coranique) Cengiz Demirkan, représentant de la communauté turque de Cologne, et le docteur Sarheimer, fonctionnaire haut placé au service de l’immigration, mènent une guerre larvée. Le premier, très attaché aux traditions, s’apprête à arranger une série de mariages entre les hommes de la communauté et des jeunes femmes du pays, qu’il fait venir en Allemagne sous couvert de rapprochement familial. Quant au second, il cache mal sa xénophobie, sa peur de l’ "invasion" turque et son agacement devant ces nouvelles venues qui ne parlent pas un mot d’allemand. Il soupçonne le hodja d’avoir falsifié les tests linguistiques prouvant que les jeunes mariées parlent les trois cent mots d’allemand requis pour pouvoir prétendre à un permis de séjour.