Les meilleurs films de western de Salvatore Billa
Nous vous présentons notre classement des meilleurs films de Salvatore Billa. Aimez-vous les films? Ou cherchez-vous un film de votre acteur préféré à voir ce soir ? Il vous en reste sûrement à voir ou que vous ne connaissiez pas encore à propos de Salvatore Billa.
Blindman, Le Justicier Aveugle
6,2/10
Un pistolero, aveugle mais diablement efficace, est chargé d'escorter 50 épouses jusqu'à leurs maris mineurs en Californie. Il se fait doubler par son partenaire qui organise le trafic de ces femmes avec le bandit Domingo. Un dernier combat sanglant, cruel les départagera...
Adios Sabata
5,9/10
Sabata, aventurier vêtu de noir et armé d'un fusil harmonica, prête main forte à des révolutionnaires mexicain pour dérober un chargement d'or destiné à l'empereur Maximilien.
Pas de pitié pour les salopards
6,1/10
L'affrontement de deux bandits désireux de dévaliser un convoi transportant une grosse somme d'argent.
Ciak Mull
6/10
Suite à l'incendie de l'asile où ils étaient enfermés quatre hommes, dont l'un, Ciak Mull, a perdu la mémoire, s'évadent et se rendent à Dodge City. Deux familles s'y font la guerre, hors Ciak Mull est le fils du chef de l'une d'entre elle. Le temps passe, la mémoire ne lui revient pas. Il devient la proie d'une machination et, aidé jusqu'au sacrifice par ses amis, sortira indemne de l'aventure pour partir vers un avenir meilleur accompagné de la femme qu'il aime.
La vengeance est un plat qui se mange froid
5/10
Enfant, après avoir été témoin du meurtre brutal de toute sa famille par des Amérindiens, Jeremiah Bridger devient un tueur indien impitoyable et un chasseur de scalps. Après avoir sauvé la vie d'une belle fille amérindienne nommée Tune, le tireur solitaire et silencieux reconsidère lentement sa haine. Il commence à douter de son ancienne persuasion, que ce sont vraiment les Indiens, qui ont tué sa famille, et doit bientôt découvrir qu'un propriétaire terrien cupide et sans scrupules blâme généralement les Amérindiens pour ses propres crimes.
