Les meilleurs films de Teo Hernández

Teo Hernández

Teo Hernández

23/12/1939- 29/08/1992
Aujourd’hui, nous vous présentons les meilleurs films de Teo Hernández. Si vous êtes un grand fan de cinéma, vous savez sûrement la plupart d’entre eux, mais nous espérons découvrir un film que vous ne l’avez pas encore vu … et que vous l’aimez! Nous y allons avec les meilleurs films de Teo Hernández.
Année:

Nuits transparentes

Nuits transparentes

Sara/Teo

Sara/Teo
  • Première: 01/01/1981
Un film de Michel Nedjar.

Désir

Désir
  • Première: 31/12/1977
Un film de Michel Nedjar.

Cristo

Cristo
7/10
  • Genre: Drame
  • Première: 30/08/1977

Téo

Téo
  • Première: 01/01/2004
  • Personnage: Himself

Teo

Teo
  • Première: 01/01/1978
Un portrait de Teo Hernandez par Michel Nedjar.

Un cinéaste qui ne tient pas la caméra est comme un peintre qui ne tient pas le pinceau (Conversation avec Teo Hernandez II)

Un cinéaste qui ne tient pas la caméra est comme un peintre qui ne tient pas le pinceau (Conversation avec Teo Hernandez II)
  • Genre: Documentaire
  • Première: 04/09/2014
  • Personnage: Himself (voix)
Un cinéaste qui ne tient pas la caméra est comme un peintre qui ne tient pas le pinceau (Conversation avec Teo Hernandez II) est la captation sonore, réalisée le 25 janvier 1980, du 2ème entretien que Gérard Courant a eu avec le cinéaste mexicain Teo Hernandez qui fait suite à un premier, enregistré le 13 novembre 1979, intitulé Mes films commencent au moment où les autres se terminent et qui précède Teo Hernandez sur Radio Ark en ciel, enregistré le 2 juillet 1982.

Le printemps

Le printemps
  • Première: 01/01/1987
Un film de Gaël Badaud.

Angle

Angle
  • Première: 01/03/1978
«ANGLE, avec ses brefs plans noir et blanc, presque toujours en plongée et en oblique, de corps ou de partie de corps nus, est un film de la brisure. Des ponctuations d'amorce noire morcellent la continuité filmique, isolant des sortes d'instantanés ou de brefs mouvements furtifs: roulement du corps sur lui-même, heurt contre l'autre ou chute (ces chutes terribles, à pic comme un évanouissement, comme celle du héros du Chien andalou, dont la main en tombant effleure un moment le dos nu d'une belle insensible et qui est, me semble-t-il, la plus saisissante représentation qu'on puisse donner du lien de la passion amoureuse et de la mort). Souvent, ces mouvements sont répétés et les acteurs semblent alors les descendants des bonshommes de Muybridge égarés dans une pièce blanche. A la fin - c'est le plus long plan du film - dans un angle de la pièce, un des deux acteurs reste accroupi, se cachant les yeux dans les mains. Puis l'angle réapparaît, vide.» Dominique Noguez.

J'aime

J'aime
  • Première: 01/01/1978
  • Personnage: Himself
Chronique intime de gens et de lieux que le cinéaste apprécie, qui propose un nouveau regard: celui de l'innocence.

Tables d'hiver

Tables d'hiver
7,3/10

Éphémère

Éphémère
  • Première: 01/01/1979
La construction du film décalque les paliers successifs d'une démarche qui, au fur et à mesure, nous révèle les différentes étapes de sa présentation: la lune, la rose, l'enfant, la bougie, la tête de mort, s'enchassent dans un tableau unique qui délivre leur sens intérieur. Eléments reliés par la voie du film pour déboucher sur l'image finale: celle où le sens devient extérieur.

Tranches

Tranches

Le chant de l'âme

Le chant de l'âme
  • Première: 01/01/1989
Ce film est une connaissance en soi, où la lumière doit être trouvée pour atteindre une connaissance de soi-même. Pour cela il nous faut une clef qui se trouve au plus profond de nous-même.

Mes films commencent au moment où les autres se terminent (Conversation avec Teo Hernandez I)

Mes films commencent au moment où les autres se terminent (Conversation avec Teo Hernandez I)
  • Genre: Documentaire
  • Première: 24/09/2014
  • Personnage: Himself (voix)
Mes films commencent au moment où les autres se terminent (Conversation avec Teo Hernandez I) est la captation sonore, réalisée le 13 novembre 1979, du 1er entretien que Gérard Courant et Joseph Morder ont eu avec le cinéaste mexicain Teo Hernandez, qui précède Un cinéaste qui ne tient pas la caméra est comme un peintre qui ne tient pas le pinceau (Conversation avec Teo Hernandez II), enregistré le 25 janvier 1980 et Teo Hernandez sur Radio Ark en ciel, enregistré le 2 juillet 1982. (Il existe un quatrième film, réalisé le 20 octobre 2006, Teo Hernandez à Paris, qui est une rencontre filmée entre Gérard Courant et Mauricio Hernandez, le neveu du cinéaste latino-américain).

Sur Graal de T.H.

Sur Graal de T.H.
  • Première: 17/02/1981
Un film de Michel Nedjar.

Au cœur du cristal

Au cœur du cristal
  • Première: 01/01/1980
Le chant composé par l'auteur module les phases du film et constitue, dans sa globalité, la forme spécifique d'un appel.

14, Bina Garden

14, Bina Garden
4,8/10
  • Première: 22/10/1968

A quoi rêve l'araignée ?

A quoi rêve l'araignée ?
  • Première: 01/01/1982
Un film de Michel Nedjar.

Le gant de l'autre

Le gant de l'autre
  • Première: 14/06/1977
«Rattrapant les films d'Anger ou de Genet, LE GANT DE L'AUTRE est ainsi le film le plus avancé de l'époque sur la voie de la célébration d'une libre sexualité différente (que Lionel Soukaz défend alors de son côté de façon militante). (...) Le Gant de l'autre, avec ses roses et ses bleus, ses doux mouvements de mains et de caméra, est un film de la caresse.» Dominique Noguez.

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