Les meilleurs films de science-fiction de Henry Daniell

Henry Daniell

Henry Daniell

05/03/1894- 31/10/1963
Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Henry Daniell, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Henry Daniell.

Le Sous-marin de l'apocalypse

Le Sous-marin de l'apocalypse
6/10
Le Seaview, un super sous-marin atomique conçu par l'Amiral Harriman Nelson, subit ses derniers essais dans l'océan Arctique, sous les glaces du pôle Nord. Pour superviser ces ultimes tests, le submersible accueille à son bord les représentants du gouvernement : le sénateur Parker, grand pourfendeur du projet, le Dr Hiller, psychiatre, et l'Amiral Crawford. En plongée, le bâtiment est soudain victime d'un éboulement de glace et le retour à la surface offre le terrifiant spectacle de la glace en fusion sous un ciel qui parait s'être embrasé. Lorsqu'il parvient enfin à joindre Washington, Nelson apprend que la « ceinture de Van Allen a pris feu », faisant inexorablement augmenter la température jusqu'à rendre bientôt toute vie impossible. Dans leur course pour sauver la planète, l'Amiral et l'équipage du Seaview vont devoir affronter les attaques de monstres marins, de sous-marins ennemis et même d'un saboteur.

De la Terre à la Lune

De la Terre à la Lune
5,1/10
Après la guerre de Sécession, Barbicane continue à inventer des obus pour percer des trous et Nicholl des boucliers pour l'en empêcher. Se mettant d'accord, ils décident un voyage vers la Lune. Le cercle dont ils font partie s'enrichit d'un nouveau venu, un certain Jules Verne. À bord d'un énorme obus, les deux hommes sont envoyés vers l'astre des nuits. Mais la fille de Nicholl et son fiancé, cachés par mégarde dans le moyen de transport, s'embarquent pour la même aventure.

L'Histoire de l'humanité

L'Histoire de l'humanité
4,8/10
L'argument science-fictionnel est mince: un conseil des anciens intersidéral est réunit pour juger l'humanité, prétexte à un scénario lourdingue qui se résume à un catalogue de tableaux historiques statiques et stéréotypes. Tout le monde y passe : Cléopâtre, Néron, Aristote Jeanne d'arc, Leonard de Vinci, Christophe Colomb, à l'occasion de scénettes fauchées, enrichies de stock-shots, qui hésitent entre le pompeux et le comique, le film assenant sans finesse son message chrétien. Peut être peut-on déjà voir chez Irwin Allen, futur producteur de "la tour infernale" et de "l'aventure du Poséidon", un attrait pour les grandes catastrophes. Les quelques curiosités qu'offre la pléthorique distribution (la prestation amusante de Vincent Price, distingué et ironique tel qu'à l'accoutumée, des Marx Brothers sur le retour et un jeune Denis Hopper qui interprète Napoléon) ne suffisent pas à sauver le film de sa pesanteur et le spectateur de l'ennui.

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