Les meilleurs films de romance de Robert Joy
Nous vous présentons notre classement des meilleurs films de Robert Joy. Aimez-vous les films? Ou cherchez-vous un film de votre acteur préféré à voir ce soir ? Il vous en reste sûrement à voir ou que vous ne connaissiez pas encore à propos de Robert Joy.
Toi, c'est moi
6,2/10
Woody et Nell, voisins malgré eux et ennemis jurés, échangent malencontreusement leurs corps à cause d'un dieu aztèque, et décident de tout faire pour ruiner la vie de l'autre. Mais petit à petit ils apprennent à mieux se connaitre et à faire des effort l'un pour l'autre.
Sweet November
6,7/10
Nelson Moss est un agent publicitaire obsédé par le travail. Lors d'un examen de conduite, il est dérangé par une jeune femme arrivée en retard. Elle s'appelle Sara Deever, elle est enjouée, zen, complètement à l'opposé de Nelson en qui elle voit quelqu'un de bien. Comme elle a un certain don pour transformer les hommes, elle invite Nelson à venir habiter chez elle en plus d'être son chauffeur.
Super papa
5,5/10
Joe Scheffer, un employé d'une grande entreprise, a la désagréable impression d'avoir tout raté dans sa vie : Callie, son ex-femme qu'il aime toujours, le trouve nul et sa boîte lui refuse chaque année une promotion que justifieraient son ancienneté et ses talents. La situation empire le jour où, en présence de sa fille Natalie, il est humilié par Mark McKinney qui lui ravit sa place de parking. Joe décide alors de se prendre en main et de changer radicalement de style et de personnalité...
Atlantic City
7,3/10
Sally, serveuse dans un casino, hébèrge son mari, Dave qui vit maintenant avec sa soeur, dans un vieil immeuble d'Atlantic City. Dave a trouvé de la drogue dans une cabine téléphonique et aidé de Lou, voisin de Sally qui a toujours rêvé d'être un truand, tente de la revendre. Mais reconnu par les propriétaires des sachets de drogue, Dave est abattu. Lou, en possession de cette nouvelle richesse, va pouvoir enfin réaliser ses rêves.
Un compagnon de longue date
7,6/10
3 juillet 1981. Le «New York Times» évoque pour la première fois un "cancer gay". La question d'une épidémie est également posée.
Howard et ses amis, tous intellos ou artistes homo, acueillent l'info avec scepticisme ou l'ironie : ne s'agit-il pas là d'une nouvelle tentative de stigmatisation ?
Mais lorsque l'un d'eux est atteint, l'évidence force le refus du désespoir ou de la fatalité, et la lutte s'organise...
