Les meilleurs films de Michael Rotschopf

Christine dirige la filiale d'une grosse agence de publicité. Belle et dominatrice, elle exerce une véritable fascination sur son assistante Isabelle, jeune femme ambitieuse mais naïve qui lui est totalement soumise. Perverse et manipulatrice, Christine se joue de son ascendant sur Isabelle, allant jusqu'à lui voler la vedette au sein de l'entreprise en prétendant être à l'origine d'une de ses idées, un concept original salué par l'ensemble des cadres de la multinationale. Mais Isabelle se rebelle et fait savoir que c'est elle, et non pas sa patronne, qui a trouvé comment promouvoir de manière originale ce nouveau produit. Pendant que son mentor l'entraîne dans une liaison trouble mêlée de désir et de jalousie, l'assistante échafaude un plan diabolique pour se venger...

1934. Alors que Clarissa, à l'aube de la quarantaine, s'apprête à quitter Vienne et l'Autriche, elle se remémore son passé. Orpheline de mère, laissée à 18 ans libre de vivre sa vie par son père, un général rigide écarté par l'empereur pour sa trop grande intégrité, elle est devenue l'assistante d'un psychiatre réputé. En 1914, en Suisse, lors d'un congrès auquel elle assiste en son nom, Clarissa rencontre un jeune socialiste français, Léonard.

Au début du XVIIIe siècle, une comtesse européenne choisit un esclave africain pour être baptisé et éduqué. Arrivé à l’âge adulte, Angelo acquiert de l’importance et devient la mascotte de la cour viennoise jusqu’à ce qu’il décide d’épouser en secret une femme blanche.

Né en Azerbaïdjan à la fin du XIXe siècle, au sein d'une famille allemande qui regagne bientôt son pays, Richard Sorge, sympathisant puis militant communiste, devient agent du Komintern en 1921. Mi-journaliste, mi-informateur, il voyage entre l'Allemagne et l'URSS puis, en 1928, rejoint Shanghai, sous couvert d'une activité de correspondant pour la presse allemande. En 1933, après un passage à Berlin pour peaufiner sa fausse identité de reporter allemand, il atterrit dans la ville japonaise de Yokohama sous le nom de code «Ramsay». En 1941, il alerte Moscou de l'imminence de l'invasion allemande, mais Staline ne tient pas compte de son avertissement