Les meilleurs films de fantastique de Peter Lorre

Peter Lorre

Peter Lorre

26/06/1904- 23/03/1964
Aujourd’hui, nous vous présentons les meilleurs films de Peter Lorre. Si vous êtes un grand fan de cinéma, vous savez sûrement la plupart d’entre eux, mais nous espérons découvrir un film que vous ne l’avez pas encore vu … et que vous l’aimez! Nous y allons avec les meilleurs films de Peter Lorre.

20 000 Lieues sous les mers

20 000 Lieues sous les mers
7,2/10
En 1868, un monstre mystérieux s'acharne sur les bateaux naviguant dans l'océan Pacifique. Alarmé par ce phénomène, le gouvernement américain arme une frégate. Ned, un fabuleux harponneur, Aronnax, un homme de science et son assistant partent à la recherche du supposé monstre marin...

Le Tour du monde en quatre-vingts jours

Le Tour du monde en quatre-vingts jours
6,7/10
Phileas Fogg, gentleman anglais, parie, contre les membres de son club, qu'il est capable de faire le tour du monde en 80 jours. Il part aussitôt, emmenant Passepartout, son valet français, ancien clown et homme de ressources et, pour tout bagage, un sac plein de chèques. Une infinité de moyens de transport (ballon, bateau, train, éléphant…) leur permettra d'enchaîner une très longue suite d'étapes (Paris, l'Espagne, le canal de Suez, Calcutta, Hong Kong, San Francisco, New York…). Mais, dès Suez, Fix, un policier, va pourchasser les deux héros.

Le Corbeau

Le Corbeau
6,5/10
XVe siècle, Angleterre. Le Dr Craven s'est retiré de la confrérie des magiciens pour pleurer Lenore, sa femme perdue. Un soir, il reçoit la visite d'un corbeau doué de parole. Celui-ci lui révèle avoir vu sa femme, bien vivante, dans le château du terrible sorcier Scarabus...

L'Histoire de l'humanité

L'Histoire de l'humanité
4,8/10
L'argument science-fictionnel est mince: un conseil des anciens intersidéral est réunit pour juger l'humanité, prétexte à un scénario lourdingue qui se résume à un catalogue de tableaux historiques statiques et stéréotypes. Tout le monde y passe : Cléopâtre, Néron, Aristote Jeanne d'arc, Leonard de Vinci, Christophe Colomb, à l'occasion de scénettes fauchées, enrichies de stock-shots, qui hésitent entre le pompeux et le comique, le film assenant sans finesse son message chrétien. Peut être peut-on déjà voir chez Irwin Allen, futur producteur de "la tour infernale" et de "l'aventure du Poséidon", un attrait pour les grandes catastrophes. Les quelques curiosités qu'offre la pléthorique distribution (la prestation amusante de Vincent Price, distingué et ironique tel qu'à l'accoutumée, des Marx Brothers sur le retour et un jeune Denis Hopper qui interprète Napoléon) ne suffisent pas à sauver le film de sa pesanteur et le spectateur de l'ennui.

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