Les meilleurs films de drame de Corinne Cléry
Aujourd’hui, nous vous présentons les meilleurs films de Corinne Cléry. Si vous êtes un grand fan de cinéma, vous savez sûrement la plupart d’entre eux, mais nous espérons découvrir un film que vous ne l’avez pas encore vu … et que vous l’aimez! Nous y allons avec les meilleurs films de Corinne Cléry.
Histoire d'O
5,3/10
O est une jeune femme libre et indépendante, qui est emmenée par son amant René dans un château situé à Roissy où elle devient esclave de son plein gré. René la donne ensuite à Sir Stephen qui devient le nouveau maître d'O. D'abord réticente, O devient amoureuse de Sir Stephen. Ce dernier la fait marquer au fer rouge et la soumet à diverses pratiques sexuelles sado-masochistes.
La Proie de l'Autostop
6,8/10
Walter et Eve partent en weekend pour essayer d'arranger un peu leur couple qui bat de l'aile. Ils prennent un auto-stoppeur, Adam, qui se révèle un dangereux maniaque. Mais les choses vont prendre une tournure inattendue...
Per Sempre
5/10
Vita coi figli
5,5/10
Kleinhoff Hotel
5,2/10
Striptease
4,6/10
Alain Sarre, un metteur en scène, traverse une crise profonde. Il se retire dans les îles Canaries ...Il rencontre un jour Anne Born, une ancienne actrice devenue effeuilleuse et devient son chevalier servant. La troublante situation ne plait pas particulièrement à Sylvia, la fille d'un banquier, qui l'entretient.
Errore fatale
Les Poneyttes
4,4/10
L'ascension et la chute d'un journaliste, nommé Max Torp, qui dirige conjointement un magazine pour jeunes, un club privé, une agence de tournée et une radio pirate. Les ennuis financiers s'accumulent et le financier Shoura Cassidy, un américain, exige le remboursement de l'argent investi.
I viaggiatori della sera
6,6/10
L'ultimo harem
5,9/10
Le roi de Paris
5,6/10
Paris, 1930. Victor Derval, surnommé le « roi de Paris », tient le haut de l'affiche depuis une dizaine d'années et vit entouré de ses plus fidèles courtisans. Son fils Paul, comédien également, ne supporte plus de vivre dans l'ombre de son père.
