Les meilleurs films de drame de Clément Hervieu-Léger
Aujourd’hui, nous vous présentons les meilleurs films de Clément Hervieu-Léger. Si vous êtes un grand fan de cinéma, vous savez sûrement la plupart d’entre eux, mais nous espérons découvrir un film que vous ne l’avez pas encore vu … et que vous l’aimez! Nous y allons avec les meilleurs films de Clément Hervieu-Léger.
Gabrielle
6,2/10
Une maison où on aime venir. De longues soirées où on écoute, regarde, rit, affirme une chose puis son contraire. C'est l'avantage des cercles d'habitués, on se connaît si bien. Elans de franchise ou excès de dissimulation, instants de doute, de joie fondée ou infondée, tout s'y côtoie, pour le plaisir des invités et des maîtres de maison. A ces derniers, tout réussit et leur existence est de celles qu'on envie.Mais soudain, l'horloge se dérègle. Un jour, quelqu'un part, et tarde à revenir. Et quand la sonnette retentit enfin, le monde a basculé. Plus tard, un homme et une femme se retrouvent dans cette maison et se voient vraiment pour la première fois. L'un l'a voulu, l'autre non. L'un veut parler, l'autre pas. Difficile d'être dans la même maison quand on ne veut pas les mêmes choses.
La Répétition
6/10
Deux amies d'enfance d'une trentaine d'années, qui rêvaient de devenir actrices, se retrouvent après plus de dix ans de séparation. Nathalie est devenue une comédienne de théâtre renommée, tandis que Louise travaille comme prothésiste dentaire.Parce qu'elle admire Nathalie, Louise veut faire son bonheur malgré elle et insiste pour qu'elle joue "Lulu" avec Walter Amar, un metteur en scène prestigieux. Louise vit par procuration la promesse de réussite de son amie : elle habite chez elle, assiste à son travail, lui devient indispensable.Louise ne laisse aucun répit à Nathalie. Leur relation se transforme peu à peu en un engrenage passionnel.
Angels in America
New York, 1985. Avec en toile de fond, le sida - punition divine infligée aux gays selon l'Amérique puritaine -, des anges, qui épiloguent sur la vacuité du rêve américain, croisent le fantôme de l'espionne Ethel Rosenberg, des amants désunis et des malades démunis. Prior, atteint du virus du sida, aime Louis qui s'apprête à le quitter. Roy Cohn, homme de pouvoir, avocat juif et homosexuel, antisémite et homophobe, vit dans le déni de sa séropositivité. Harper, elle, se réfugie dans les médicaments pour adoucir son quotidien conjugal avec Joe, dont la sexualité incertaine contraste avec des croyances religieuses bien ancrées.
Dom Juan & Sganarelle
5,2/10
Au XXIe siècle, à l'extérieur, en plein jour, Dom Juan et son valet Sganarelle traînent le cadavre d'un prêtre à travers la campagne, puis l'enterrent. A l'intérieur, de nuit, dans un hôtel parisien, Dom Juan, désespéré, corps nu tatoué de slogans nihilistes, déambule avec lassitude dans l'orgie qu'il a organisée, en quête de volupté et d'absolu. Survient Elvire, éplorée, qui lui demande des comptes...
