Les meilleurs films de Emilie de Preissac

Emilie de Preissac

Emilie de Preissac

Si vous aimez le cinéma, vous partagerez ce ranking des meilleurs films de Emilie de Preissac, même si vous les avez peut-être classés différemment. En tout cas, nous espérons que vous l’aimerez et découvrirez, espérons-le, un film que vous ne connaissez toujours pas Emilie de Preissac.

Transit

Transit
6,9/10
De nos jours, à Marseille, des réfugiés de l'Europe entière rêvent d'embarquer pour l'Amérique, fuyant les forces d'occupation fascistes. Parmi eux, l'Allemand Georg prend l'identité d'un écrivain mort pour profiter de son visa. Il tombe amoureux de Marie, en quête désespérée de l'homme qu'elle aime et sans lequel elle ne partira pas...

Diaz : Un crime d'état

Diaz : Un crime d'état
7,3/10
  • Genre: Drame
  • Première: 13/04/2012
  • Personnage: Camille
En 2001, pendant la dernière journée du G8 de Gênes, quelques instants avant minuit, plus de 300 officiers prennent d'assaut l'école Diaz, à la recherche des militants du Black Bloc. Dans l'établissement, se trouvent 90 activistes, dont la plupart sont des étudiants européens accompagnés de quelques journalistes étrangers, qui s'apprêtent à passer la nuit à même le sol de l'école. Alors que les forces de l'ordre font irruption, les jeunes manifestants lèvent les mains pour se rendre. Imperturbables et implacables, les policiers se livrent à des exactions préméditées d'une violence inouïe, frappant indifféremment jeunes et vieux, hommes et femmes.

Les Anarchistes

Les Anarchistes
5,7/10
Paris 1899. Le brigadier Jean Albertini, pauvre et orphelin, est choisi pour infiltrer un groupe d’anarchistes. Pour lui, c’est l’occasion de monter en grade. Mais, obligé de composer sans relâche, Jean est de plus en plus divisé. D’un côté, il livre les rapports de police à Gaspard, son supérieur, de l’autre, il développe pour le groupe des sentiments de plus en plus profonds.

La révolte des innocents

La révolte des innocents
6,8/10
  • Genre: Drame
  • Première: 20/11/2018
  • Personnage: Louise Perreau
En 1911, Louise Perreau a du mal à élever son fils Gaston, âgé d'une dizaine d'années. Celui-ci est placé dans un établissement qui accueille des jeunes gens, où ils sont censés recevoir une bonne éducation. Ce qui était présenté comme un sanatorium est en réalité un lieu de maltraitance et d'exploitation. Une révolte éclate, les lieux sont saccagés, des gardiens molestés. Un jeune juge entame une procédure à l'encontre des meneurs de la révolte, mais aussi contre les gérants de l'institution.

Regarde-moi

Regarde-moi
6,3/10
  • Genre: Drame
  • Première: 26/09/2007
  • Personnage: Julie
Une journée qui commence comme les autres dans la banlieue parisienne. Jo, futur joueur en formation au football club d'Arsenal, entame un footing, Yannick veut reconquérir sa belle Mélissa et Mouss aimerait concrétiser sa relation avec Daphné. 24h pour se sceller un destin. Même journée qui démarre comme les autres pour Fatimata et Julie. Sauf que Fatimata est noire que Julie est blanche, qu'elles aiment le même garçon et que les prochaines 24h les réuniront à jamais.

Marge D'erreur

Marge D'erreur
5,7/10
Rebecca, brillante avocate, parvient à faire acquitter Kevin Gossens, accusé d’avoir assassiné une femme après lui avoir coupé le doigt sur lequel elle portait une bague de grande valeur. Pour fêter l’événement, il invite Rebecca à déjeuner. Celle-ci est troublée par le discours ambigu de son client… Le lendemain, elle découvre dans son sac à main, horrifiée, un paquet avec un doigt coupé portant une bague, accompagné d’un mot de remerciement de Kevin…

Entrée du personnel

Entrée du personnel
7/10
D’abord, il y a des centaines de bêtes – cochons, bœufs, moutons – qui défilent en flux continu vers la mort industrielle, dans un vacarme de machines qui grincent et s’entrechoquent. De l’autre côté de la chaîne, alignés comme une armée de clones en blouse blanche, femmes et hommes, certains en cotte de maille, abattent, découpent, désossent et emballent pour la mise en barquette, répétant les mêmes gestes à l’infini, jusqu’au vertige. Une éreintante chorégraphie, soumise à des cadences infernales qui les tuent, eux aussi, lentement. "Usés jusqu’à l’os", confient-ils en voix off, dans une parole anonyme, par crainte des représailles. Avec une douloureuse lucidité, les ouvriers racontent l’habitude du sang qui jaillit et de l’odeur qui imprègne, l’accélération constante du rendement, les cauchemars quotidiens, l’aliénation.

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