Les meilleurs films de documentaire de Jamie Lee Curtis

La scène de la douche du long-métrage « Psychose » dans laquelle le personnage incarné par Janet Leigh est sauvagement assassiné à coups de couteau a traumatisé plusieurs générations de téléspectateurs. Pour obtenir le rendu désiré, Alfred Hitchcock a tourné cette scène de quarante-cinq secondes sur sept jours. Essentiel, le montage, qui comporte 78 plans et 52 coupes, contribue grandement à la violence de la séquence. En perte de repère, le spectateur se met tour à tour dans la position de la victime et du voyeur.

Alors que le cinéma australien a percé auprès du public international dans les années 1970 grâce à des films d'art et d'essai respectés comme "Picnic at Hanging Rock" de Peter Weir, un nouveau groupe clandestin de réalisateurs de films d'exploitation à petit budget produisait des œuvres beaucoup moins nobles. Le documentariste Mark Hartley explore cette ère de sexe et de violence débridée, avec des extraits de certains des films les plus scandaleux de la scène et des entretiens avec les cinéastes renégats eux-mêmes.

De la tragédie de l'enfance à l'apaisement des dernières années, de "Certains l’aiment chaud" à "Amicalement vôtre", un voyage intime avec Tony Curtis (1925-2010), l’un des premiers sex-symbols masculins d'Hollywood.

"Halloween" : The Inside Story" jette un regard sur l'une des franchises cinématographiques les plus réussies de tous les temps en allant dans les coulisses de "Halloween" de John Carpenter, le "frightfest" qui a redéfini le genre de l'horreur à la fin des années 1970. Les téléspectateurs apprendront comment le scénariste et réalisateur John Carpenter a fait de la magie cinématographique avec un budget très restreint et comment le département des costumes a créé l'un des méchants les plus emblématiques de l'histoire du cinéma en peignant à la bombe un masque du capitaine Kirk. C'est un regard intérieur sur Michael Myers et sur la terreur d'Halloween qu'il déchaîne sur les pauvres adolescents de Haddonfield, Illinois.